Découvertes....

Situé un peu à l'écart de la ville, la vieille tour qui se tenais devant Havoc Von Stark dominais du haut de sa colline les bâtiments de "sa" nouvelle cité.
L'endroit semblais abandonné. Nul doute que peu de personnes puisent venir en tel lieu.
*Seul encore et toujours*, pensa ironiquement Havoc, la lune éclaircissant encore plus sa peau si blanche, contrastant avec ces cheveux noirs corbeau.

Les hautes herbes, les ronces et autres arbustes parsemaient le petit chemin qu'il avait suivi, dès son arrivé en ville, avec pour seuls bagages son épée, et son savoir. Cela attira les regards, engendra de murmures à son passage, mais Von Stark n'en avait cure, y étant tellement habitué en ces nombreux siècles de voyages. Et puis, pourquoi s’occupé de ces pathétiques humains, de tel humains ayant par le passé chassé, haïs, comme sa famille dont il porte encore le nom le fit sans pitié aucune, sans compréhension.
*Mieux vaut ne pas se remémorer se passage*, se dit Havoc, les yeux alors tournaient vers la lune, mélancoliques d’un passé tragique.

Arrivé à la lourde porte, rouge de rouille, le bois abîmé par les années, Havoc eu la surprise, assez frappante, de la trouver ouverte.
*Pas si abandonné que cela* pensa t’il, non sans inquiétude, mais sa peur fut vite disparu :
*De simples mendiants, certainement à la recherche d’un abri. Un bon garde mangé en somme*. Cette idée fit frissonné le ‘jeune’ noble de plaisir soudain.

Mais ce plaisir ne fut au combien décuplé avec la découverte qu’il fit à l’intérieur, après avoir adapté ses yeux aux ténèbres de l’endroit. Cette tour, derrière ces aspects de banalités, caché un merveilleux trésor : une lunette astronomique.
Havoc Von Stark, à cet instant, sus que ce lieu serait son nouveau lieu de vie en cette ville inconnue, du moins jusqu’à ce que sa soif de connaissances l’emmène ailleurs.

Sa joie fut de courte durée. En effet, se précipitant vers le télescope, Von Stark trébuchât. Le sol étant de terre battu, il pensa alors à une pierre, ou autre chose sortant du sol, mais pas à se qu’il vis. Un corps, en encore assez bon état, d’un homme, mais d’une telle blancheur que cela ne pouvait signifier qu’une chose.

« Tiens donc, plus aucunes gouttes de sang, depuis quant les sans abris ont un certain goûts pour les bonnes choses ? » se dis Havoc à lui même.
*Cette ville est ainsi donc beaucoup plus intéressante qu’elle n’y parais.* Il souris alors, sourire n’étant que froideur, dévoilant ainsi ces longues canines.

Il était près de trois heures du matin lorsqu'un jeune SDF sentit le froid l'envahir. Il ne devait pas être plus haut qu' un mètre cinquante et certainement éxténué d'avoir cherché ne serait - ce qu'un embalage de nourriture, qu'elle soit destinée aux humains ou non.

Yukina s'empourpra. C'était toujours le même refrain lorsqu'elle ne se nourrissaient pas deux nuits d'affilé. La faim se divaguait en elle, tel un feu d'artifice dans une nuit noire. On aurait presque cru, en l'examinant bien, on aurait pratiquement vu des étincelles. Pour une fois, son esprit ne la torturait pas, et l'envie de se nourrir se devinait. Tuer? Pourquoi? L'aveugle n'en voyait pas l'utilité où un quelconque plaisir à cela, mais il ne fallait pas renier son espèce, et encore moins son mode de vie. . .
La lune, hautement perchée dans les airs, semblait l'inciter à s'aventurer dehors. Le jeune non voyante entendit l'appel, et se laissa tenter.

La vampire descendait lentement chaque marche de marbre, maissant derrière elle son long manteau écarlate en velour effleurer à chaque instant le sol. Une présence la troubla, une odeur de chair tétanisée l'attira. Un jeune homme? Le pauvre, La povre, car cet être allait devenir Sa victime. Sa bouche de couleur sanguine et légèrement mouillée devint féroce: à chacunes des extrémités de la lèvre inférieure commençait à pousser deux canines fortements aguisées . . .
Une fois l'aura de l'enfant proche, elle se radoucit, et réussit à cacher comme toujours et pour toujours, ses pupilles jaunes désormais fendues.
Avec un air frivole et des pas légers, elle se dirigea vers un édifice plutôt centenaire, et d'une altitude proche des étoile et de la noirceur du ciel.

* Tu ne devrais pas rester appuyé à un tel mur longtemps l'ami . . .*

Elle s'arrêta net devant le pathétique humain qui devanait terrifié et mort de froid. Ses muscles contractés ne pouvait empêcher de violent tremblement produits par son systèmes nerveux, mais juste pour le faire souffrir, Yukina l'observa longuement, lentemnet, cruellement.

* Misérable, Tu affrontes la nuit, je te laisse la vie sauve, mais sache qu'il m'est difficile d'oublier une si belle gorge deux fois consécutives. . .*

Elle posa sa main sur la porte de bois usée par le temps, et dont le bois semblait en putréfaction. . .

Elle monta les escaliers en collimaçons qui menait au dernier étage, ne sachant ni pourquoi, ni pour combien de temps.

Laissant le corps là ou il était , le jeune vampire humecta l'air alentour.
Bien que l'odeur d'ancienneté, une certaine odeur de moisissures alourdisait l'air, Havoc sentit une presence. Mais un certain aura que nul être vivant, nul personne profitant encore de sa courte vie ne peut émettre.
*Un vampire!* Cette idée vint complèter ses pensées vis à vis du petit cadavre, vétus de genilles, qui gisé prés de lui.

Tous ses sens en alertes, Von Stark, d'un mouvement rapide et précis, tira son épée, et avanca. Le rez de chaussé totalement vide, Havoc entendit un grincement, au dessus de sa tête.
*Tiens tiens, le chat a-t-il débuscer sa proie?* Son intention se porta alors sur les escaliers en colimaçon, qui se diriger vers les ténèbres de l'étage.

Montant lentement chaque marches, sans un souffle, Havoc se prépara au combat contre l'inconnue qui se trouve si proche de lui, qu'il en pouvais même entendre sa réspiration.

Arrivé au premier étage, il vis alors un ombre, prés d'une fenêtre, contemplant la lune, insensible au reste de la piéce.
*C'est le moment* ricana interieurement Havoc Von Stark, et d'un cri, se lanca, l'épée en avant. Alors qu'il était proche de porter son cout, l'ombre se retourna alors, et se que le noble vis lui entrava toute ces actions.

Il se trouva alors face à une jeune femme, d'une allure si fine qu'elle semblais de verre, et d'une teinte de peau étant aussi clair que la lune en dehors, aussi claire que la peau de Havoc, et d'une bouche si rouge... Petite par rapport à lui, elle faisais si innocente, bien que son aura ne fus que tristesse.

Mais le détail qui frappa tellement étant le visage de l'inconnue. Assez jolie, mais ces yeux ne pouvaient plus voir, clos pour l'éternité.
Havoc Von Stark ne pu émettre aucuns sons, muet devant pareil vision.

Il se trouvait donc là l'inconnu. Cette créatura à soif de savoir, de conaissance, d'apprentissage. . .Il émanait une telle vivacité, une telle énergie, lui au moins devait vivre sa vie comme il l'entendait, sans jamais s'en lacer, comment y parvenait - il? Comment faisait -il? Sa présence n'étouffait pourtant en rien son flair qui ne luiavait jamais mentit. Grâce à lui, elle pouvait sentir que quelque shose de métalique était proche, très proche. Peut être même pointé juste à quelque milimètres de sa veine juste en dessous de sa gorge si blanche, si . . .pâle. IL dégageait un parfum séduisant, elle en conclut qu'il n'avait pas mauvais goût mais sa présence simple intriguait vraiment Yukina. Mais cette odeur de lame. . .Lui rapelait le poignard que sa mère avait osée pointer sur elle le dernier jour de sa vie à présent envolée. . . .
Ses yeux cachés s'embuèrent, sa peau de neige frémit.

Elle garda son calme et ne laissa paraître un brin de son bouleversement, de toute façon, elle n'avait que faire de pareilles sotises.
Tous les deux avaient l'air bête ainsi. Lui ne bougait pas et demeurait en position d'attaque, il voulait attaquer, il le voulait, mais sans qu'elle en conaissent la raison, il s'était arrêté dans son élan si puissant, qui allait certainement la tuer pour la seconde fois de sa vie. . .Mais rapelons - le, il s'était arrêté . . .Pourquoi donc?

------------Flash back---------
Pièce blanche, cheveux noirs au sol . . .petits pieds nus immergés dans le sang, des larmes perlant su un visage grimaçant d'horreur, les rides resoorties, l'ensemble du visage pétrifié, figé, la langue de cette tête pendant de tout son longsur le menton. . .
------------Fin du Flash back------

* Je n'en puis plus, ses images me hantent, elles font parties entière de moi - même. . .Cette fois je veux que tout cesse.*

La jeune non - voyante ne voulait pas qu'il la prenne en pitié, elle n'en voulait pas, et ne désirait pas l'embêter, de plus, sur le moment où elle réfléchit une seconde, elle ne trouva rien qui vaille encore la pein de vivre pour l'éternité. . .Elle avait passé son existence à chercher en elle des informations sur son passé, elle avait tou épuisé, toutes ses années où elle était si proche de la folie, elle n'avait jamais eu besoin de personne. . .

Le dos courbé en arrière sur le rebord de la fenêtre et les mains écrasée derrière son dos commençait à sentir monter l'engourdissement, les fourmis prenait petit à petit tout son être. Le nuages passait tel un brouillard noire de pollution dehors. A l'extérieur également, une odeur de cigarette mêlée au sang écaillés sur le coup des victimes qu'un vampire avait du boire il y avaiat de cela certainement 2 heures au moins.

Elle revint à celui qui l'avait surprise et qui n'avait bougé ne serait - ce q'un seule cil de puis son entrée dans la pièce. Il était à deux pas d'elle, elle sentait son soufflechaud lui monter dans la nuque, elle se posait beaucoup de question sur lui. Mais ces questions s'envolèrent bien rapidement et cédèrent leur place à une indifférence totale. Sur un ton joueur, elle s'exprima de sa vois douce mais percante.

- N'hésite pas. Si tu ne le fais pas, je m'en chargerais.

elle posa son idex droit extrêmement fin au centre de la lame tranchante.

Havoc sentit, l'épée toujours en main, au plus profond de la personne qui lui faisait façe, de nombreuses émotions. Ainsi, il crut deviner de la curiosité au départ, mais aussi vite que ce sentiment arriva, aussi vite il s'envola.
Lui fit place alors à un profond boulversement. Que pouvait elle bien ressentir, derrière ces paupières à tout jamais scellés? Von Stark en fut encore plus éstomaquer.
*Mais qui est-elle?* Il lui semblais aussi que la tête de la jeune femme tanguais de la lame sombre de son épée, puis à son propre visage.
*Quelles sombres souvenirs lui traversent ils l'esprit?*

En effet, un vague profonde de détresse, de peur émana d'une telle ampleur du corps au combien si chétif de la vampire qu'il cru qu'elle allais défaillir, tombé de tout son poids vers le sol.
*Elle souffre tellement, au point de vouloir véritablement mourir.Pourquoi en suis je aussi boulversé? Pourquoi, alors que ce n'est juste une inconnue?*

Alors qu'il se perdait dans ses pensés, Von Stark vis la jeune fille se lever, et de ses mains si douces, toucher le fil de l'épée. Elle lui demanda, à lui, tout aussi inconnu l'un pour l'autre, de la "tuer". En preuve de cette volonté, elle descendit petit à petit son doigt le long du tranchant, laissant s'écouler une fine marque vermeil. Si il ne la tuait pas, elle s'en chargerait, est il sentit sa volonté, si grande, trop grande pour un si petit corps.

Sans aucune réponse à ces questions, la larme à l'oeil sans raisons aucunes, le noble leva haut son épée, sentit la satisfaction de la mort qui sortait de l'inconnue, et trancha......

"Je ne peux, vous dont je ne sais même pas le nom, je ne peux faire cela" dit-il, son arme plantée au sol. Il regarda devant lui, en attentant le coup provenant de la vampire, mais rien ne vins. Elle était agenouillé là, sur le planchet, sa si jolie robe salie par la poussière. Et elle semblait......pleurer.

Au sol, une fois de plsu la déception la gagna. Totalement et à jamais cloitrée à terre, pour toujours Yukina demeurerait prisonnière de ses tourments, pleine de regrets et avec seulement la noirceur de la nuit pour compagnie. A quoi bon vivre pour l'éternité si vos "cris" intérieurs vous hantent à tout va ? SI dès que vous éprouvez de l'amour à prendre unpinceau, à l'utiliser, à l'user. ..Et que soudainement, on ne sait par quel moyen, l'on vous l'arrache des mains comme s'il était question d'une pépite d'or convoitée par ces avares d'humains. . .Voilà ce qui poussait la jeune femme à s'offrir à la mort. Elle le désirait, elle le voulait, elle le vommissait, elle empestait la mort. . .

Mais pourquoi donc avait - il cessé son coup ? Cette si belle solution que le meurtre. ..Un soulagement même. Yukina fronça les sourcils . Un pinceau, une flamme, il peint, il s'éteind. La vampire ne savait plus que faire. Comme la plus - part du temps où son corps s'affaiblissait, ses genoux défaillir, et c'était ainsi qu'elle s'était retrouvé, emmbrassant le sol de ses tibias. Et lui, qui avait hésiter longuement, jusqu'à ne pas porter son attaque jusqu'à la fin, possédait un regard vide,de sentiments, bouleversé, égaré. La comprenait - il ? Avait - il endurer pire que ce qu'elle avait vécue ?

Tentant de se relever avec beaucoup de difficultés, le petit corps cadavérique de Yukina pâlissait et se mit à trembler: elle ne s'était pas nourrie de puis maintenant trois jours, ou devrais - je dire, trois nuits.
Et le poids de la faim, et la souffrance qui la rongeait, l'écrasaient l'empêchant de se redresser et de tenir sur se pied. ALors que la nuit allait bientôt laisser place au soleil dans quelque heures, l'aveugle agit.
De sa main si fragile, squelettique, en un mouvement extr^mement rapide et remplis de haine, elle sasit la lame et se l'enfonça au plus profond de son coeur, qui ne battait plus depuis des siècles.

- Tu. . .Tu as hésité. . .Il. . .Il ne faut jamais. . . hésiter. . .

Elle s'afaissa sur le sol, son sang s'écoulant et se propageant sur les sol telle la pluie qui forme les flaques, tel le robinet coincé ouvert sur l'eau froide. . .

*Laissez moi en paix. . .*

Mais elle ne pouvait se délivrer, car depuis que soncoeur s'était arrêté, on lui avait offert en récompense l'immortalité. . . . Elle s'abandonna à l'inconscient, toujours étalée sur le carrelage beige et marrons, de marbre. . .

Le désespoir de la jeune femme, sa totale volonté à vouloir mourir, elle qui, immortelle, ne pouvais espérer qu’une éternité de tourments morale.
Havoc, bien que vivant depuis tant d’années, n’avait rarement vu, au jamais, autant de tristesse enfermé dans une personne.

*Quel est donc sont histoire ?* se demanda t-il, lui qui avait également connu tant de souffrance, à commencer par sa famille, qui l’avais honnis à la découverte…..de son immortalité, de sa malédiction ? Le jeune noble ne s’en souvint plus très bien, mais le souvenir de ses mains, de ses lèvres salies par le sang de ses proches, cela il ne pouvait l’oublié.

Cela lui fit perdre quelques instants le court des choses, car lorsque il fixa de nouveau la si torturé inconnue, celle-ci était de nouveaux debout, mais avec difficulté. En effet, Von Stark sentit bien qu’elle était faible.[/i]*Le manque de sang peut tous aussi bien tuer un vampire que le soleil, ou la pointe affûtée d’un pieu de bois….*

[i]Mais ce fut alors que le destin bascula, que tout changea dans sa vie….la jeune vampire, de ses toutes dernières forces, se jeta de tout son poids sur son épée, au niveau du cœur qui ne battrait plus jamais, comme le sien. Havoc Von Stark en fut tout abasourdit, et vis le si fragile corps s’écrouler sur le marbre froid du sol, marbre prenant peu à peu une couleur rouge, en même temps que la « vie » quittée le corps étendu à ses pieds.

Mille et une pensés envahirent Havoc à cette instant, instant qui lui parut durée des heures. Une seule lui fut digne d’intérêt.
*Il faut que je l’aide, mon instinct me le dit. Je pourrais peut être l’aider, du moins la soulager durant sa trop longue éternité ?*
Il se mis alors à la porter, et sentit son souffle diminué petit à petit. Le temps lui manqué, alors que dehors, par les fenêtres de l’escalier en colimaçon, il fit décliner la lune, signe de l’aube proche.

Arriver au rez de chaussée, que fut sa surprise et sa chance de découvrir, prés d’un corps au sol, un vagabond, assez petit, se trouver là, attiré par la curiosité. La terreur ce lut sur son visage lorsqu’il vit Havoc, mais surtout lorsque son regard fut attiré par la vampire qui se trouvait dans ses bras. Il l’avait peut être déjà vu ?
Von Stark en profita. Posant délicatement la jeune fille au sol, il dit : "Veux tu gagner quelques pièces en échange d’un service ?"

Le mendiant parut hésité, mais n’eu pas vraiment le choix car Havoc Von Stark le pris par le bras, l’entraîna vers le sol, et approcha son coup, certes salie par la crasse, de la bouche de l’inconnue dont il ne savait toujours pas le nom……et attendit.

Bien qu'elle eut été submerger quelques minutes dans son subconscient, elle réussir à s'en tirer tel un oiseaux qui se sépare de sa branche pour rejoindre la noirceur des nuages, sentir la brise fraîche sur ses plumes . . .

A cet instant où elle reprit connaissance, elle sentait que la température s'était levée, ce qui la fit frissonner. Elle se remémora la scène qui venait de se passer. ELle se souvînt de la dernière aurrore qu'elle eu vue, un dégradé rose saumon épousait en formant une courbe le beau rouge écalrlate qui touchait la lumière du soleil, ces pigments de couleur tellement nombreux qu'elle n'arrivait jamais à peindre toutes les colorations parfaitement . . . Ils étaient comparable à des éclats de verre si petits qu'en un seul souffle, la douce brise du matin les emporte de ses bras si grands ouverts . . .A son éveil une légère odeur de sang humain la sortie de sa brume et révéla à nouveau sa faim qui s'était apaisée.

*Pourquoi a t - il agit ainsi? Pourquoi ne m'a t - il pas laissé épouser le sol de mes lèvres? Oh maman . . .tu m'as encore harcelée cette nuit. Que cherches - tu à me prouver? Tu me pousses presque au suicide. . .Pfff Je suis pathétique. . .*

Puisque Von stark avait fournit tant d'effort pour la sauver du soleil, elle prêta attention à son effort et matérialisa ses canines d'un blanc éclatant, presque cristalin et les appuya aussi glaciales furent - elles sur la chair chaude et crasseuse du jeune sans abri. Perçant sa peau, elle comprit qu'il s'agissait de l'éxcitante gorge vue à l'entrée de l'édifice. . .ALors le sang coula, maquilla ses lèvres, colora sa lague, pénétra dans toute l'âme de la frêle aveugle. Le breuvage la réchauffa, lui fit oublier ses peines, ce fût comme si l'acool purgeait ses soucis. Cela faisait si longemps qu'un sang d'une qualités aussi médiocre lui avait été si nécéssaire . . .Elle était pratiquement dans un état d'extasie, mais celle - ci restait intérieure.

Elle le priva de ce liquide si précieux à sa vie jusqu'à la moitié, culpabilisant déjà. Aurait- on pus qualifier cela comme une espèce de forme d'anorexie vampirique? La jeune demoiselle se libéra de son emprise délicatement, aquiessant la tête , comme pour remercier le brave homme de l'avoir secourue. elle s'éloigna, appuyée de ses mains sur chaque mûr pour repérer un coin de la pièce. elle s'y adossa et se glissa contre la paroie afin de se retrouver assise.

* Peindre, je dois peindre. Si ça m'a réconfortée étant enfant cela doit pouvoir . . .NON! je me rapellerais de ma . . .Je suis une biche égarée, nan plutôt un gros tas de rose fanées qui ne trouve plus de but.*

Yukina appréciait le comportement du jeune homme qui l'avait accompagnée ce soir. ELle partageait sa curiosité, sa soif de curiosité. . .Pourquoi un inconnu l'interraissait - il autant? Sans doutes parce que les rencontres amiclaes ne marchaient pas fort ces derniers temps. . .

Le sans abris poussa de nombreux cris d'agonie lorsqu'il découvrit le sang qu'il avait perdu et celui qui était en train de sécher sur sa cage thoracique.

* Je suis véritablement pathétique. . .*

couvrant son joli visage endommagé par la mélancolie de ses mains, elle prit alors la paroles, examinant sa blessure qui avait cicatrisé . . .

- J'dois te remercier . . . Mais j'le ferais pas, parce que j'aurais réellement désiré la mort.

Le temps dura une éternité. Havoc eu la terrible impression que la vampire, allongée sur le sol, se laisserait mourir, ne tenterais même plus de résister.......elle semblais, là, inconsiente, perdu dans ses pensés connus d'elle seule, s'agitant quelques fois . Von Stark ne savais pas pourquoi, mais il avait la terrible impression de vouloir aider la jeune femme à porter son fardeau, une envie soudaine de la protégé des autres, lui qu'il n'avait pas même pu défendre sa famille de sa propre personne?
*Que m'arrive t'il, pourquoi je comporte de la sorte?" se dit-il, interieurement.

Mais c'est alors que, émergeant des ténèbres des ses cauchemards, la douce inconnue se reveilla et contre toutes attentes, mordit à pleine dents le coup du vagabond, aspirant petit à petit toute son énergie vitale, sa proie pleurant comme un marmot.
*Enfin, elle reviens à la réalité* pensa t'il non sans un certain soulagement.

Sa tâche achevait, la jeune fille se leva non sans mal, mais tenaità le faire seul, malgré l'aide que proposé le jeune noble. Elle déambula par la suite, le long des murs, par tatonnements, à la recherche d'un coin ou se blottir, seule. En effet, Havoc Von Stark ne sus quelles decisions prendre.

Devais t'il resté là, à attendre qu'elle se manifeste, avec comme bruit de fond les râles d'agonie du mendiant, ou devait-il partir, ne plus jamais revenir, de peur d'être encore plus perturbé, mais avec un sentiment de lâcheté lui restant pour toujours à l'esprit?

Au moins, il sentit en la personne de la jeune femme une certain considération envers lui, se qui, il s'avoua, le toucha beaucoup, car peu de personnes, et cela depuis trés longtemps, n'avais eu de tel sentiment pour lui.

Mais par contre le fait de s'être nourris de nouveau de sang d'un innocent avait l'air de l'avoir extremement boulversé, car elle cacha son si beau visage derrière ces douces mains, comme pour cacher sa honte à tous. L'agonie de la victime ne fit qu'amplifier se sentiement, ainsi Havoc lui perca le coeur, d'un coup d'un seul pour mettre fin à ses souffrances, et à ceux de la vampire prostrait dans son coin.

Elle se mis alors à parler, comme quoi elle ne désirait pas le remercier, comme si Havoc était en partit la cause de ses souffrances, la cause du fait qu'elle soit encore en vie.

Havoc Von Stark s'avanca alors, l'épée ranger dans son foureau, et s'agenouilla alors, pour se mettre au niveau du visage de la jeune femme, et lui pris délicatement les mains, mains si froides, si fragiles, mais elle le laissa faire.
Il dit alors, droit dans ses yeux clos, mais marques d'une énorme peine:
"Comment puis-je vous aider, comment puis-je découvrir votre histoire? Pourquoi ne plus aimer la vie?"

Il attendit, avec apréhension, la réponse de la personne qui le boulversé tant.........

La puanteur su ang prenait place et ampleur dans la pièce. Lanuit s'évanouissait de plus plus enplu, marquant derrière elle le masque les nuages sur la beauté incomparable du visage des étoiles, le soleil de ses rayons chauds se découvrait petit à petit. Les deux vampires n'avait pas beosoin de jeter un coup d'eoil sur le ciel pour le voir, au risque de se brûler les yeux, le simple degré de plus s'était fait sentir. Mais la panique ne les envahissait pas, ils n'y prêtaient aucune attention, de plus, il devait être difficile pour chaque faisseaux de lumière de pénétrer là où les morts vivants s'étaient rencontré.

Le jeune Havoc semblait beaucoup réfléchir, l'atmosphère lourde et pensante s'évadait peu à peu,mais semblait tout de même l'avouer.
L'esprit torturé de Yuki-chan l'avait laisser demeurrer en paix durant les premières minutes où elle avait repris conaissance.

La phrase qu'avait prononcé Von Stark avaait marquée la vampire . Chaque mot qui était sortis de sa bouche avait graver sa mémoire. "Comment puis - je vous aider? Comment puis - je découvrir votre histoire? Pourquoi ne plus aimer la vie ?" Elle ne comprenait pas. Pourquoi il ne la laissait pas ainsi souffrir comme tous les autres le faisaient ? Elle avait toujours été chose insignifiante,errant depuis son premier jour, totalement inutile et souillant cette planète par sa simple présence. . . De plus, on avait infligé à toute sortes de population sa vie éternelle qui aparemment les déangeait puisqu'il n'arrivait qu'à soritr des moqueries ou injures à son propos. Lui était contraire à tout cela. C'était de ces personnes dont elle aurait eu besoin par le passé.
Il voulait conaitre son histoire? Elle ne la conaissait pas. Elle avait consacré chaque minute de sa vie, chaque fraction de secondes à résoudre le moindre petit élément de son histoire. En vain. Il voulait l'aider. ET ça, elle n'avait jamais entendus pareille chose. Personne non jamais, pas meême son père n'avait osé l'aider. Alors franchement, pourquoi un incconu qui venait à peine de la sauver voulait renouveler cette expérience? C'était pour ele abhérent.
Elle se reprit et s'éloigna de ce trouble, dériva vers le monde réel les mains toujours placées sur son front, elle ne chercha pas une réponse très rédigée, car cette maudite réponse était simple :
Elle rit quelque temps, d'un rire ironique, qui la fatiguait tout de même.

- Moi ? . . ..Mon histoire est toujours mystère, et je ne connais pas moi -même tous le bouts de ce puzzle. . . .

Elle redressa la tête et prit un profonde inspiration. Elle avait peur de l'embêter, de l'ennuyer de le laisser partir alors qu'il n'était que la seconde personnes qui s'était aventurée à se mettre du côté de la jeune femme. Enfin, la première s'était retrouvé morte dans un hôpital . . .

Le rire de la jeune femme lui resta longtemps à l'esprit. Trés longtemps. Cela lui mis un peu de baume au coeur, car cela était une preuve qu'elle comprenais sa volonté de l'aider, malgré le fait qu'ils étaient l'un pour l'autre deux parfait inconnus. A moins que cela, au contraire, sois un rire de dépit, dépit dû à un réponse qu'elle ne pouvais lui donner.

*Quelle âme vraiment tourmenté, vraiment.* pensa t-il pour lui même. Nul doute que sa vie fut parcouru de souffrances, que son coeur a connu tant de désillusions, et son corps combien de moqueries et de rejets.

Mais la réponse de la vampire confirma ses doutes sur veracités de dépit et de tristesse qui semblais caracteriser la jeune fille. En effet, elle ne savait que peu de choses sur sa propre histoire.

*Amnésie, oublie intentionnel, vie trop difficile à se souvenir?* Havoc Von Stark ne savait que penser, son esprit encore plus embrumé suite aux dires de Yukina.

"Même pas une bride, même pas une petite parcelle" dits Havoc. Ce n'est pas la pitié envers la jeune fille qui guida ses actes ou se paroles, mais la profonde envie d'aider. Bien que se soit hors nature pour un vampire, le jeune noble se moqua de cela. Nul doute qu'il n'y gagnera rien, mais le fait d'aider l'inconnu soulagera son propre esprit des horreurs qu'il a commis, et que ô combien il tente de racheter.

"Qu'il en sois ainsi alors, mademoiselle, malgré le fait que je ne sais rien de vous, malgré nos différences, malgré tous cela, je vous aiderais, ou au moins je vous soutiendrais dans cette ville, face à ses dangers. Qu'avais vous à perdre?"

Comme preuve de sa volonté, Havoc, fils de la famille perdu Von Stark, se mis à genoux, alors que derrière lui, petit à petit, l'aube se mis à naître.......

Tapis dans l'ombre qui commencait à se faire rare, le manteau à capuche en velours écarlate traînant dans la poussière du sol, la rendait miséricrodieuse.

Elle était effrayée et choquée. Ses sourcils dessinaient une expression perturbée son la blachuer de l'arrière plan de son visage ovale. Il voulait donc s'unir ave cYukina afin de l'aider à retrouver des traces, de n'importe quel type du moment que cela pourrait la faire accéder à son histoire, comme la colle qui sert à recoller les morceaux d'un mirroir brisé, dont les morceaux en éclats 'nont plus aucun sens, et qui reflètent dix fois mille la même image. En parlant d'image, Yukina était épathée, il était parvenus à la faire oublier un cours moment de sa vie nocturne, ces images ineffaçables. Elle lui en était reconaissante, éternellement, et sincèrment. La jeuen femme le prenait dorénavant avec une estime immensément grande, elle lui avait acordé son respect et sa confiance. Ceux - ci qu'elle dissimulait depuis tellement longtemps . . .

De l'eau. Beaucoup d'eau. Un océan calme et d'un bleu ciel avec, pour conjoint, un vert émeraude. . .Acun remous à l'horizon, rien de comparable. Imaginez - vous un seul instant être un goutte de cette vaste étendue. Ne rêveriez - vous pas d'un autre environnement? n'éprouveriez vous pas l'irrésistible envie de voir le mponde, de "vivre" réellement? Cette vision des choses correspondait sur tous les points à la vampire, les différences étaient d'ailleurs si peu nombreuses, leur ressemblences aussi flagrantes, que cette goutte qui lui était familièrement semblable se retrouva sur sa joue.

C'en était fait, elle avait gagné. Yukina, encore frêle venait de comprendre la seule issue qui s'offrait à elle. Changer de vie? Non, cela lui semblait impossible, mais la varier, assumer, prendre compte de tout, ça, pouvait changer les choses . . .Von Stark avait trouvé les mots qui l'avaient délivrés, cassé ses chaines lmourdes et pesante, arracher les ongles de ces mains qui l'attiraient constament vers le bas.

Le soleil émergeait enfin, se mettait plus en évidence et prêchait sa chaleur à travers la ville, endormant et réveillant les différentes races. Les deux créatures entamait une déshydratation, la sueur s'affichait, s'incrustait sur leurs portraits.
ALors, comme pour le remercier depuis des années, elle s'approcha de lui, apaisa son visage, lui sasit la main droite, la caressa, se prosteran devant lui, et prit enfin la parole:

- Rien. Je n'ai plus rien à perdre. On m'as tout pris, tout.

En une courte durée elle avait dénoué ce noeud. Mais par la suite, le problème qui se posa fut la chaleur, ils avaient trop attendus. La boule de feu illuminait la pièce, et les brûlaient de tout leur être à toute vitesse. . . .

Le temps se jouais de cet instant,. En effet, en dehors de la tour naissait l'aube, sa lumière grignotant petit à petit l'obscurité et les ténébres si chères aux vampires.
Havoc, le crâne endolorie par la souffrance dû à cette exposition néfaste à l'astre du jour, se devais de sortir de ce guépier, et, emmener Yukina avec lui, de sorte qu'ils puisent tous deux sortir indémne, elle pour enfin comprendre son histoire, lui pour permettre à la jeune fille d'y arrivé
*Il faut trouver une issue, ou il sera finie de nos existances.* pensa t'il fugassement, comme si c'était sa dernière heure.

Von Stark se dépécha alors de visualisé le rez de chaussé, sa compagne, proche de lui, gémisant sous les atroces brûlures causées par les rayons du Soleil. Et c'est là qu'il la vit, certe cacher par la poussière, mais bien réelle. Une trappe.
Ou mennait-elle, le jeune vampire n'avait pas la réponse, mais nul doute que cela les sauverait tous deux.
'' Suivez moi, puisse t'il que le temps sois avec nous'', alors que derrière eux l'ombre se faisait de plus en plus rare.

Il bondit alors vers l'ouverture, mais avec la terrible peur que celle si soit close. Cela ne fut, les gonds grincant pour la première fois depuis longtemps, un air froid s'échappant alors du trou menant vers les profondeurs de la terre. Nulle échelle, mais havoc Von Stark pris le risque et sauta.
La réception, bien qu'un peu rude, se fit sans mal, et il hurla.
''Sautez sans risques, je vous rattrape. Faites moi confiance.'' Et c'est ce qu'elle fit, quelques secondes plus tard, lui tombant dans les bras sous le doux bruissement de sa robe .

Quel fur leur soulagement en remarquant qu'aucune trace de lumière ne se trouver à cet endroit, mais par prudence ils s'éloignirent, vers les si douces ténébres. Encore endolorie par le choc dû au Soleil, ni l'un ni l'autre de dire mots, mais se fixérent, signe d'un profond respect l'un à l'autre.
''Attendons que lea lune reprénne ses droits avant de sortir...., mais excuser moi je suis si fatigué, je pense que je vais me reposer un instant. Si vous avez un problème, réveiller moi, mais vous pouvez dormir sans craintes.''

Havoc s'assoupit alors, avec la pensé d'avoir commis un acte bon, et se depuis nombre d'années, en regardant la jeune fille qui elle aussi s'assoupie.
*Dans quelle situation suis-je?* fut sa derniere pensé avant le début de son sommeil.

Ici, les vampires retrouvaient le noir et l'ombre qui leur était familière et nécéssaire. dès qu'elle eut posé le pied à terre, elle tatonnna soigneusement les murs poussiéreux et parsemés de toiles d'arraignées pour atteindre la poignée rouillée et refermer avec arduité celle - ci qui semblait défier son envie de survivre qui n'était malheureusement pas supérieure à la force de l'usure des siècle qui devenait son adversaire. Mais le bouton de porte céda et les enferma dans la petite pièce étroite certes, mais qui allait affluer sur le devenir de leurs vies.

Une fois que tout fut clos, l'ensemble de ce qui avait l'aspect d'une chambre de servantes où encore un grenier ample et simple, ne consentait qu'a autoriser un niveau plutôt bas de lumière, ce qui effectivement, soulagea les deux créatures qui s'en était sorties tant bien par leur vie sauvées que mal, par les larges et cruelles égratignures sauvages qui agrémentait leurs membres supérieurs.

Lui séjournait sur un archaïque tapis terreux et grisâtre, en proie à son sommeil prédateur, alongé là, dos à elle, pour le reste de la journée. Sa silhouette charmeuse ne bougeait plus sous des battements cardiaques, il était lui aussi mort. Ses cheveux couvrant son visage si pâle et non pour autant déplaisant ne pousserait plus, jamais il pourrait sse réveiller auprès de la même personne qu'il chérirait, alors qu'est -ce qui pouvait bien le préoccuper de pareille manière pour être aussi déterminé à s'attacher à la vie, à sa vie de mort vivant?

Il demeurait là, de sa grande taille sous l'attention de Yukina qui n'atteignait guère facilement semblable coma que sa personne.
Elle ne détachait son interêt de lui, ses paupières dissimulaient de grands yeux privés des milliers de belles choses, ce qui la rendait encore plus triste, mais qui ne la fatiguait aucunement. Elle soupira, le sentant s'assoupir, s'endormir pendant qu'un soleil éclatant et merveilleux devait s'amplifier dans le ciel si bleu, si incommensurable. . .
La dernière fois qu'elle avait eu l'occasion de l'apercevoir, elle n'était encore que trop insouciante, et peu exposée à sa lumière qui lui réchauffait le corps.

- Bonne journée. Reposez - vous.

Elle s'asseya, rabbattit ses jambes jusqu'à sa poitrine, croisa les bras et posa ses coudes sur ses genoux, et appuya son menton sur son poignet gauche, conservant une totale insomnie. . . Elle hésitait à le laisser seul, car elle ne voulait être un fardeau pour une personne de plus, et elle se sentait capabel d'affronter seule ses problèmes, même si ce n'était vraiment pas le cas.